A droite, la tendance d’en faire trop. A gauche, celle de ne pas assez en faire.
Dans les relations avec ceux qui comptent pour moi, je marche sur un fil tendu au-dessus du vide.
« En faire trop »
Concrètement, de quoi s’agit-il ? En gros, c’est quand je fournis plus d’efforts que l’autre, dans la durée ET que je n’y trouve pas mon compte. Par exemple : je lui pardonne beaucoup plus qu’il ne me pardonne, je « travaille » beaucoup plus pour notre relation que lui / elle, je fais plus souvent à sa place qu’il ne fait à ma place, je le rassure beaucoup plus qu’il ne me rassure, etc.
Si j’en fais trop, je m’épuise et empêche l’autre d’apprendre (ou de venir vers moi).
Dans les relations avec ceux qui comptent pour moi, je marche sur un fil tendu au-dessus du vide.
« En faire trop »
Concrètement, de quoi s’agit-il ? En gros, c’est quand je fournis plus d’efforts que l’autre, dans la durée ET que je n’y trouve pas mon compte. Par exemple : je lui pardonne beaucoup plus qu’il ne me pardonne, je « travaille » beaucoup plus pour notre relation que lui / elle, je fais plus souvent à sa place qu’il ne fait à ma place, je le rassure beaucoup plus qu’il ne me rassure, etc.
Si j’en fais trop, je m’épuise et empêche l’autre d’apprendre (ou de venir vers moi).
Ne pas « en faire assez »
« Celui qui n’en fait pas assez » c’est celui qui donne la main à « celui qui en fait trop ». Ils forment un tandem où l’un pédale plus que l’autre…et laisse à l’autre le temps de s’ennuyer du voyage…
Si je ne fais pas assez, c’est l’autre qui s’épuise et souffre des repères absents (d’affection, de réassurance, de limites).
Comment savoir si je risque de tomber dans le vide (relationnel) ?
Ces relations ont pour caractéristiques de s’accentuer avec le temps : plus je pédale, plus l’autre s’agace ou s’ennuie… Pour aboutir à cette question : « pourquoi sommes si peu heureux ?! »…
Je sais que je me dirige vers une fin d’une relation agréable quand je réponds positivement aux questions suivantes :
« Celui qui n’en fait pas assez » c’est celui qui donne la main à « celui qui en fait trop ». Ils forment un tandem où l’un pédale plus que l’autre…et laisse à l’autre le temps de s’ennuyer du voyage…
Si je ne fais pas assez, c’est l’autre qui s’épuise et souffre des repères absents (d’affection, de réassurance, de limites).
Comment savoir si je risque de tomber dans le vide (relationnel) ?
Ces relations ont pour caractéristiques de s’accentuer avec le temps : plus je pédale, plus l’autre s’agace ou s’ennuie… Pour aboutir à cette question : « pourquoi sommes si peu heureux ?! »…
Je sais que je me dirige vers une fin d’une relation agréable quand je réponds positivement aux questions suivantes :
- Est-ce que, malgré moi (c’est-à-dire : je souhaiterais faire autrement), je suis en train d’en faire vraiment plus que l’autre (ou vraiment moins que l’autre) dans la relation, depuis au moins 3 mois ?
- Est-ce que cette tendance s’est amplifiée, depuis le début de notre relation ?
- Si j’ai tendance à en faire trop : « Est-ce que je souffre de ce déséquilibre ? »
- Si j’ai tendance à en faire moins : «Est-ce que la relation a tendance à m’étouffer / à me lasser par moment ? »
L’équilibre
La juste posture dans une relation, c’est celle où l’on reçoit au moins autant que ce que l’on y investit. Un rêve ? Non ! Une réalité de ceux qui ont fait le choix du courage – car être heureux demande du courage.
Comment faire ?
Concrètement, cela suppose parfois avoir le courage d'identifier et de dire ce qui est réellement important pour moi et m’organiser pour que ces critères sont respectés. Cela signifie aussi être capable de lâcher sur ce qui n’est pas si important pour moi, afin de satisfaire l’autre. Cela peut aussi parfois vouloir dire qu’il y a certaines relations qu’on doit être prêts à perdre ou à désinvestir parce que nous n’y serons jamais nourris à notre faim…
La juste posture dans une relation, c’est celle où l’on reçoit au moins autant que ce que l’on y investit. Un rêve ? Non ! Une réalité de ceux qui ont fait le choix du courage – car être heureux demande du courage.
Comment faire ?
Concrètement, cela suppose parfois avoir le courage d'identifier et de dire ce qui est réellement important pour moi et m’organiser pour que ces critères sont respectés. Cela signifie aussi être capable de lâcher sur ce qui n’est pas si important pour moi, afin de satisfaire l’autre. Cela peut aussi parfois vouloir dire qu’il y a certaines relations qu’on doit être prêts à perdre ou à désinvestir parce que nous n’y serons jamais nourris à notre faim…