Notre corps nous envoie des informations nous concernant. Et cette voie de communication de soi avec soi-même est merveilleuse ! Si je n’écoute pas ces « signaux faibles » (les informations chuchotées), il y a de fortes probabilités pour que mon corps continue à m’informer en criant plus fort.
En quoi est-ce utile ?
Ecouter ces signaux nous permet de nous ajuster dans notre vie en prenant des décisions justes pour nous.
Si mon corps fonctionne différemment de ce qu’il a l’habitude de faire, je peux peut-être y percevoir un message en lien avec ce que je suis en train de vivre. Chacun a ses « canaux de distribution » privilégiés : les intestins, l’estomac, la tête, le dos, les jambes, etc.
La migraine
Jacques Salomé avait coutume de décrire la migraine comme une « mi-graine » : une graine coupée en deux. Avec l’expérience, j’ai trouvé utile de comprendre les migraines comme une information que deux parties en moi sont divisées sur un sujet particulier. Les migraines peuvent refléter nos ambivalences :
Parfois, nous nous engageons sur un chemin et, en marchant dessus, nous nous rendons compte que ce chemin ne nous convient pas. Pas parce qu’il n’est pas parfait. Mais plutôt parce qu’il vient en confrontation avec quelque chose d’essentiel pour nous.
Si nous n’en prenons pas conscience, notre corps nous rappelle à nous-même. Les migraines à répétition peuvent aussi provenir de ce que nous continuons sur un chemin qui, au fond, ne nous convient pas.
Comment je peux comprendre mes migraines ?
Mes migraines parlent de mes ambivalences d’être humain : une partie de moi est « pour », une autre partie de moi est « contre » - aucune d’entre elle n’est meilleure. Ces deux parties de moi se valent absolument. Elles me constituent.
La première partie du chemin consistera peut-être à me questionner concrètement sur : « Qu’est-ce qui ne me convient pas dans ce que je vis ? » ou « Quelles sont les deux parties de moi en conflit actuellement ? ».
Exemples :
La deuxième étape du chemin pour se débarrasser de ses migraines consiste à prendre une décision par rapport à ce conflit interne. Je dois donc agir. Cette action peut revêtir différentes formes : parler en sincérité et dire ce que j’ai sur le cœur (à mon compagnon, aux personnes de ma réunion, à mes enfants, à mon patron…), me pardonner, changer d’horaires de travail (momentanément ou durablement), … ajuster cette partie de ma vie pour qu’elle me convienne déjà un peu plus.
En quoi est-ce utile ?
Ecouter ces signaux nous permet de nous ajuster dans notre vie en prenant des décisions justes pour nous.
Si mon corps fonctionne différemment de ce qu’il a l’habitude de faire, je peux peut-être y percevoir un message en lien avec ce que je suis en train de vivre. Chacun a ses « canaux de distribution » privilégiés : les intestins, l’estomac, la tête, le dos, les jambes, etc.
La migraine
Jacques Salomé avait coutume de décrire la migraine comme une « mi-graine » : une graine coupée en deux. Avec l’expérience, j’ai trouvé utile de comprendre les migraines comme une information que deux parties en moi sont divisées sur un sujet particulier. Les migraines peuvent refléter nos ambivalences :
- « J’ai envie de ceci et, en même temps, une autre partie de moi n’en a pas envie »
- « Je veux faire ça et, en même temps, j’ai des arguments pour ne pas le faire »
- « Je dois entreprendre ce projet et en même temps je n’en ai pas envie »
- Deux choses importantes chez moi sont en conflit (ma valeur d’engagement et mon besoin de prendre soin de moi, par exemple)
Parfois, nous nous engageons sur un chemin et, en marchant dessus, nous nous rendons compte que ce chemin ne nous convient pas. Pas parce qu’il n’est pas parfait. Mais plutôt parce qu’il vient en confrontation avec quelque chose d’essentiel pour nous.
Si nous n’en prenons pas conscience, notre corps nous rappelle à nous-même. Les migraines à répétition peuvent aussi provenir de ce que nous continuons sur un chemin qui, au fond, ne nous convient pas.
Comment je peux comprendre mes migraines ?
Mes migraines parlent de mes ambivalences d’être humain : une partie de moi est « pour », une autre partie de moi est « contre » - aucune d’entre elle n’est meilleure. Ces deux parties de moi se valent absolument. Elles me constituent.
La première partie du chemin consistera peut-être à me questionner concrètement sur : « Qu’est-ce qui ne me convient pas dans ce que je vis ? » ou « Quelles sont les deux parties de moi en conflit actuellement ? ».
Exemples :
- « J’ai envie d’agir de façon autonome mais si je le fais, je risque de perdre l’attention de mon compagnon »
- « J’aime mon travail et je ne peux pas continuer à travailler dans ces conditions »
- « Je suis fatigué et je dois me lever tôt demain pour faire passer un message auquel je n’adhère pas lors d’une réunion »
- « Je veux travailler et j’aimerais passer plus de temps avec mes enfants »
La deuxième étape du chemin pour se débarrasser de ses migraines consiste à prendre une décision par rapport à ce conflit interne. Je dois donc agir. Cette action peut revêtir différentes formes : parler en sincérité et dire ce que j’ai sur le cœur (à mon compagnon, aux personnes de ma réunion, à mes enfants, à mon patron…), me pardonner, changer d’horaires de travail (momentanément ou durablement), … ajuster cette partie de ma vie pour qu’elle me convienne déjà un peu plus.