En fin d'année, la tendance à la déprime est plus importante. Il existe un antidote à la déprime et à l'anxiété, quelle que soit la période de l'année. Garder le moral haut permet de se sentir bien dans sa vie et d'avoir de l'énergie pour faire des choses qu'on aime – et que parfois, on aime moins.
Antidote à l'angoisse et à la déprime
La déprime (je ne parle pas de syndrome dépressif) est relié à l'émotion de la tristesse. La tristesse donne une information principale : « C'est la fin de quelque chose ». Cela peut être la fin de ce qui a été aussi bien que la fin de ce qui n'aura jamais eu lieu.
L'angoisse est relié à l'émotion de la peur. L'angoisse donne une information « Je me sens coincé dans une situation et je ne vois pas comment m'en sortir ». Cela peut être dans une relation ou dans un choix de vie – tant que je ne prends pas de décision ou que je ne fais pas un petit pas vers l'apaisement de cette inquiétude (aller chercher des renseignements, tester une option, etc.).
Ces deux états, souvent difficiles à vivre, ont pour caractéristique commune de s'atténuer avec des activités plaisantes. Autrement dit, le plaisir chasse progressivement la tristesse et la peur.
Renforce l'estime pour soi
Ce qui vous fait plaisir, c'est ce qui, avant de l'accomplir vous fait saliver, vous donne envie.
Plus j'accomplis des actions prévues sur une liste (en les barrant au fur et à mesure), plus je me prouve que je suis capable de réaliser des choses. Plus je me fais plaisir, plus je nourris le cercle vertueux de la confiance en moi. Et progressivement, j'augmente mon estime de moi [1].
Si je n'avance pas dans la vie, par définition, je stagne. Et stagner, c'est mauvais pour le moral. Il est important de se donner de petits objectifs, l'un après l'autre, toute l'année.
L'antidote-vaccin
Quel est cet antidote ? « Pour avoir autant d'effets positifs, il doit être difficile à obtenir ! ». Non ! Il demande sincérité, sens du jeu et peut-être le désir d'être heureux.
Faites-le une fois par an, à la même période de l'année. Planter des graines personnelles à la fin d'un cycle permet de commencer le cycle suivant sur de bonnes bases, conscientes et saines.
Prenez de quoi écrire et répondez sincèrement à cette question : « Pour les 12 prochains mois de ma vie, de quoi ai-je envie ? ».
Notez, notez avec l'ambition réaliste de vous accomplir, notez avec gourmandise, remplissez la liste qui vous accompagnera pendant l'année.
Et surtout, faites ces choses. L'une après l'autre. Et notez-les comme réalisées.
Vous pouvez passer en revue les différents domaines de votre vie : vie personnelle (corps, spiritualité, formation, etc.), vie professionnelle, vie familiale, couple, vie sociale.
Voici un extrait de liste d'envies pour nourrir l'inspiration :
Par ailleurs, utilisée en pleine forme, la liste des envie fait office de vaccin contre la déprime et l'angoisse.
N'attendez pas d'aller mal pour aller bien !
[1] L'estime de soi représente « la valeur que je m'attribue », comme l'a très bien compris un géant du cosmétique.
Antidote à l'angoisse et à la déprime
La déprime (je ne parle pas de syndrome dépressif) est relié à l'émotion de la tristesse. La tristesse donne une information principale : « C'est la fin de quelque chose ». Cela peut être la fin de ce qui a été aussi bien que la fin de ce qui n'aura jamais eu lieu.
L'angoisse est relié à l'émotion de la peur. L'angoisse donne une information « Je me sens coincé dans une situation et je ne vois pas comment m'en sortir ». Cela peut être dans une relation ou dans un choix de vie – tant que je ne prends pas de décision ou que je ne fais pas un petit pas vers l'apaisement de cette inquiétude (aller chercher des renseignements, tester une option, etc.).
Ces deux états, souvent difficiles à vivre, ont pour caractéristique commune de s'atténuer avec des activités plaisantes. Autrement dit, le plaisir chasse progressivement la tristesse et la peur.
Renforce l'estime pour soi
Ce qui vous fait plaisir, c'est ce qui, avant de l'accomplir vous fait saliver, vous donne envie.
Plus j'accomplis des actions prévues sur une liste (en les barrant au fur et à mesure), plus je me prouve que je suis capable de réaliser des choses. Plus je me fais plaisir, plus je nourris le cercle vertueux de la confiance en moi. Et progressivement, j'augmente mon estime de moi [1].
Si je n'avance pas dans la vie, par définition, je stagne. Et stagner, c'est mauvais pour le moral. Il est important de se donner de petits objectifs, l'un après l'autre, toute l'année.
L'antidote-vaccin
Quel est cet antidote ? « Pour avoir autant d'effets positifs, il doit être difficile à obtenir ! ». Non ! Il demande sincérité, sens du jeu et peut-être le désir d'être heureux.
Faites-le une fois par an, à la même période de l'année. Planter des graines personnelles à la fin d'un cycle permet de commencer le cycle suivant sur de bonnes bases, conscientes et saines.
Prenez de quoi écrire et répondez sincèrement à cette question : « Pour les 12 prochains mois de ma vie, de quoi ai-je envie ? ».
Notez, notez avec l'ambition réaliste de vous accomplir, notez avec gourmandise, remplissez la liste qui vous accompagnera pendant l'année.
Et surtout, faites ces choses. L'une après l'autre. Et notez-les comme réalisées.
Vous pouvez passer en revue les différents domaines de votre vie : vie personnelle (corps, spiritualité, formation, etc.), vie professionnelle, vie familiale, couple, vie sociale.
Voici un extrait de liste d'envies pour nourrir l'inspiration :
- prendre un cours de plongée sous-marine
- essayer le yoga
- faire un voyage hors d'Europe
- refleurir la devanture de la maison
- acquérir un lit confortable
- suivre une formation en communication efficace
- organiser un lunch avec mon directeur
- passer trois soirées par mois en tête-à-tête avec mon conjoint
- organiser un week-end avec mes copains
- passer un week-end chez cousine Delphine
- trouver une bonne adresse de massage ayurvédique
- acheter la montre de mes rêves
- repeindre le salon
Par ailleurs, utilisée en pleine forme, la liste des envie fait office de vaccin contre la déprime et l'angoisse.
N'attendez pas d'aller mal pour aller bien !
[1] L'estime de soi représente « la valeur que je m'attribue », comme l'a très bien compris un géant du cosmétique.