Comment pouvons-nous espérer vivre harmonieusement ensemble si la majorité d'entre nous pense que ce qui lui arrive est de la faute d'autrui ou que c'est autrui qui doit régler son problème?
Comment profiter de mon jardin s'il est rempli de poubelles et que je me mets en dépendance d'une autre personne pour les emmener à la décharge? Plus j'attends, plus les poubelles s'accumulent. Plus les poubelles s'accumulent et moins je peux être heureux.
Quand quelque chose de difficile nous arrive, il y a 4 façons d'envisager la situation :
Seule la 4ème posture permet de rester acteur de son quotidien. Il s'agit de faire le tri de ses déchets avant qu'ils n'arrivent dans le jardin, et de les emmener directement à la décharge - tous les jours. Cela ne demande pas plus de temps que de le faire en une fois. Mais surtout, cela permet de profiter du soleil, du chant des oiseaux, de la vue infinie du ciel et de la verdure de son jardin tous les jours.
Je synthétise cette approche en une phrase : "je pense que je suis responsable de ce que je vis, pour la part qui m'incombe". Cette phrase magique me laisse toujours acteur au moins d'une part de la situation, même petite. Ouf ! Je ne suis pas coincée et je peux faire avancer les choses...
Comment profiter de mon jardin s'il est rempli de poubelles et que je me mets en dépendance d'une autre personne pour les emmener à la décharge? Plus j'attends, plus les poubelles s'accumulent. Plus les poubelles s'accumulent et moins je peux être heureux.
Quand quelque chose de difficile nous arrive, il y a 4 façons d'envisager la situation :
- "Tout le monde est dans la merde" (c'est de la faute de la société, de Dieu, de l'économie...)
- "C'est de la faute d'un autre" (de mes parents, de mon employeur, de mes collègues, de mon mari...)
- "C'est à cause de moi uniquement" (culpabilité)
- "C'est une expérience dont la responsabilité est partagée entre les différents acteurs de la situation"
Seule la 4ème posture permet de rester acteur de son quotidien. Il s'agit de faire le tri de ses déchets avant qu'ils n'arrivent dans le jardin, et de les emmener directement à la décharge - tous les jours. Cela ne demande pas plus de temps que de le faire en une fois. Mais surtout, cela permet de profiter du soleil, du chant des oiseaux, de la vue infinie du ciel et de la verdure de son jardin tous les jours.
Je synthétise cette approche en une phrase : "je pense que je suis responsable de ce que je vis, pour la part qui m'incombe". Cette phrase magique me laisse toujours acteur au moins d'une part de la situation, même petite. Ouf ! Je ne suis pas coincée et je peux faire avancer les choses...